Actualités

19 juillet 2023 - 23 juillet 2023

Sextant au festival international de St Imier du 19 au 23 juillet 2023

Venez retrouver le catalogue des éditions du Sextant sur notre stand (lieu : patinoire de St Imier)

 



10 novembre 2023 - 12 novembre 2023

Sextant au Salon de l'Autre livre les 10, 11, 12 novembre 2023, espace des Blancs Manteaux, Paris 4e

le vendredi, de 14h à 20h

le samedi, de 11h à 20h

le dimanche, de 11h à 19h

48 rue Vieille du Temple, 75004 Paris métro Hotel de ville ou st Paul.



09 octobre 2024 - 13 octobre 2024

Rendez-vous de l'Histoire de Blois du 9 au 13 octobre 2024


22 novembre 2024 - 24 novembre 2024

2e Salon des éditrices indépendantes à Limoges les 22, 23, 24 novembre 2024


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Fragment d'un voyage à la Nouvelle-Orléans
Fragment d'un voyage à la Nouvelle-Orléans

Date de parution : février 2013
ISBN : 978-2-84978-042-8
Format :125X190 cm
80 pages
9 €


Inédit de 1855, publié en 1860 dans la revue Le Tour du monde, Ce Fragment d'un voyage à la Nouvelle-Orléans est publié pour la première fois sous forme de livre. Au début de l'année 1853, Elisée Reclus vient de traverser l'Atlantique sur un trois-mâts, et il est arrivé en Louisiane où il séjournera presque trois ans. Il décrit avec sensibilité et un sens aigu du détail sa traversée de la Mer des Antilles, sa remontée du delta du Mississipi, ses impressions de la Nouvelle-Orléans et de la société américaine.

Elisée Reclus (1830-1905) est un des plus grands géographes français, auteur d'une Géographie Universelle en 19 tomes, et un penseur de l'anarchisme. Sa biographie Elisée Reclus ou la passion du monde de Hélène Sarrazin, est publiée aux éditions du Sextant, ainsi que son texte L'Anarchie.


La presse en parle
Révolution prolétarienne, septembre 2013. Comme il faut toujours revenir aux indispensables penseurs révolutionnaires du XIXè siècle, n'hésitez pas à vous procurer le bel article du géographe Elisée reclus paru en 1860 dans la revue Le Tour du monde, écrit cinq ans plus tôt alors qu'il n'avait qu'une vingtaine d'années. Juges plutôt des premières lignes : "La mer était calme et phosphorescente; à temps égaux le navire entrouvrait la vague en poussant un grondement sourd comme celui d'un énorme cétacé; les voiles enflées par la brise imprimaient aux mâts de suaves balancements : tout dans la nature humaine semblait jouir d'un mystérieux bonheur." Si après avoir lu tout cela vous n'avez pas envie de lire la suite, je ne peux plus rien pour vous, sauf vous dire tout bonnement que vous allez rater un vrai moment de bonheur, de style et d'intelligence.